Merci, Jeeves (Thank You, Jeeves)
Auteur : P.G. Wodehouse
Traduit de l’anglais par Benoît de Fonscolombe
Éditions : 10/18 (1 er Juin 1982)
ISBN : 978-2264004482
310 pages
Quatrième de couverture
Bertie Wooster, jeune aristocrate londonien, s'est pris de
passion pour le banjo. Cette nouvelle lubie est loin de plaire à Jeeves, son
fidèle majordome, et encore moins à ses voisins exaspérés. Contraint de
déménager, Bertie se retire avec son instrument chéri dans un cottage de la
campagne anglaise, chez son ami le baron Chuffnell. Les choses se compliquent
quand le jeune homme y retrouve son ex fiancée, Pauline, dont Chuffnell est
tombé fou amoureux.
Mon avis
Ce roman est paru la première fois en 1934, ce qui explique
sans aucun doute, le petit côté suranné de cette lecture. De plus, l’humour so
british est toujours un peu « pince sans rire », entre les lignes.
Il m’a vraiment été nécessaire de penser à ces deux éléments pour apprécier ce livre.
Il m’a vraiment été nécessaire de penser à ces deux éléments pour apprécier ce livre.
Bertie est un jeune aristocrate, dont la dernière lubie est
d’apprendre à jouer du banjo…sauf qu’il exaspère tout le monde, des voisins à
son fidèle majordome, Jeeves. Ce dernier lui demande de choisir entre lui et l’instrument
de musique. Bertie finit par déménager avec l’objet du conflit dans ses
bagages. L’histoire pourrait s’arrêter là mais il ne se serait rien passé… Bertie
s’installe chez un ami et il va se retrouver dans une position délicate. Quiproquos,
comiques de situation, mœurs d’une autre époque, tout est réuni pour nous faire
rire mais pas aux éclats et c’est peut-être ce qui m’a manqué.
Les personnages sont bien de leur époque, coincés dans leurs
préjugés, leurs habitudes, et pas vraiment près à évoluer dans leur regard sur
les autres. S’ils se lâchent, c’est en cachette sans que cela soit visible, il
faut sauver les apparences.
Ce recueil ne m’a pas déçue, c’était agréable mais sans plus,
j’ai parfois trouvé le temps un peu long….
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