La tresse
Auteur : Laetitia Colombani
Éditions : Grasset (Mai 2017)
ISBN : 978-2246813880
230 pages
Quatrième de couverture
Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de
liberté.
Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.
Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.
Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade. Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est destiné et décident de se battre.
Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.
Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.
Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade. Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est destiné et décident de se battre.
Mon avis
Moi qui suis souvent coiffée d’une longue tresse et qui
offre mes cheveux ; avec un aussi joli titre, ce livre était fait pour
moi. De plus il m’avait été recommandé par une lectrice de qualité.
« La tresse » est un roman qui s’est fait
connaître par le bouche à oreille et que rien ne destinait, a priori, à un tel
succès….
Pourtant, lorsqu’on le lit, on est conquis. Il y a le
thème : ces trois femmes dans des contrées très éloignées les unes des
autres mais qui ont en commun cette rage de vivre, de gagner un combat annoncé
comme perdu d’avance. Il y a également
une écriture lumineuse, tendre, délicate pour les protagonistes qui sont
attachantes et puis enfin, la découverte de trois milieux très différents (et
on sent que l’auteur s’est documenté) : celui de l’Inde, des castes, celui
des perruquiers siciliens et enfin celui des avocats d’affaires au Canada où il
faut être plus fort que les autres pour réussir.
Il n’y a pas de détails inutiles sur chaque situation,
simplement les faits. Ceux qui rendent heureux, ceux qui donnent de l’espoir,
ceux, destructeurs dans un premier temps, qui obligent à rebondir, à se
battre…..
J’ai énormément apprécié cette lecture que j’ai quitté à
regret. J’ai trouvé la couverture sobre et élégante comme le contenu et j’aime à penser que Laetitia Colombani
s’accorde avec ces deux aspects de son recueil, ce doit être une femme solaire
….
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